Commentaire de la charcutière...

Hem hem... Des idées lumineuses ?

Que veux-tu?

Des idées lumineuses, précisément ! (Pour dire quelque chose d'intéressant)

compte pas sur moi.

Y'a pas un plan de corrigé sur Internet ?

presque...
à mon humble avis : il faut considérer le portrait sous les yeux de Florent

Je suis bien d'accord, mais va falloir trouver à en dire... demain !
Bonne nuit les cocos ! (pas les cocomentaires)

Antoine THE Gréviste a écrit:

presque...
à mon humble avis : il faut considérer le portrait sous les yeux de Florent

J'ai fait 1 partie sur le "tableau" , une autre sur le pt de vue de Flo, et une dernière qui dit que ce pt de vue se diffère de la réalité etc.

à moi j'ai fait 1) tableau et 2) pt de vue de Florent + autres

A mon avis il faut surtout insister sur le caractère social du portrait. En gros c'est le proletariat qui observe la bourgeoisie et ensuite t'interprètes tout le texte avec cette idée.

Ah ouais, très bonne idée! Dommage, je l'ai déjà fini, ce CC!

Ouais enfin prolétariat et forçat évadé c'est quand même assez différent je trouve

de même que charcutière et bourgeoisie... ( même riche charcutière XD )

Un peu tard, vous êtes sûrs que c'est le point de vue de Florent ?
J'ai plutôt l'impression que c'est un mélange focalisation intérieure et omniscient...
Enfin, je suis assez nulle en français pour ce genre de commentaire.

Pistashe a écrit:

Ouais enfin prolétariat et forçat évadé c'est quand même assez différent je trouve

Pourtant pour moi c'est vraiment le seul interet de ce texte de merde. Dans la mesure ou les gros sont bourgeois dans le roman et les maigres les prolétaires.. Personnellement j'ai rattaché toutes les caractéristiques des deux personnages à la classe sociale qu'ils sont censés représentés.

LLL a écrit:

Un peu tard, vous êtes sûrs que c'est le point de vue de Florent ?
J'ai plutôt l'impression que c'est un mélange focalisation intérieure et omniscient...
Enfin, je suis assez nulle en français pour ce genre de commentaire.

oui, dans 95% du texte. Seuls quelques bouts de phrases peuvent être interprétés comme pt de vue du narrateur.

ok... moi en gros j'ai plutôt fait 1) point de vue général d'un narrateur 2) appliqué à Florent
... et j'ai pas du tout parlé des classes sociales............................. ( en plus on est pas franchement sensés le savoir... ok on pouvait chercher... )

Antoine THE Gréviste a écrit:

ok... moi en gros j'ai plutôt fait 1) point de vue général d'un narrateur 2) appliqué à Florent
... et j'ai pas du tout parlé des classes sociales............................. ( en plus on est pas franchement sensés le savoir... ok on pouvait chercher... )

Il parait qu'elle l'a dit en classe en fait

C'est quoi votre texte ?

Idées dans le désordre le plus complet :
-chair valorisée,
-portrait réalist
-chair associée au sentiment de bien être
-analogie personnage activité réussite sociale
-point de vue de Florent
-vision du monde par l'auteur (point de vue de l'auteur)
-portrait impressioniste

C'est un peu tard mais bon, c'est tout ce que je trouve pour l'instant... (je commence mes devoirs un peu tard)
En espérant que ça vous aide... mais comme je suis vraiment nulle en français... C'est peut être faux.

celui là :

Zola a écrit:

Florent sentit un frisson à fleur de peau ; et il aperçut une femme, sur le seuil de la boutique, dans le soleil. Elle mettait un bonheur de plus, une plénitude solide et heureuse, au milieu de toutes ces gaietés grasses. C’était une belle femme. Elle tenait la largeur de la porte, point trop grosse pourtant, forte de la gorge, dans la maturité de la trentaine. Elle venait de se lever, et déjà ses cheveux, lissés, collés et comme vernis, lui descendaient en petits bandeaux plats sur les tempes. Cela la rendait très propre. Sa chair, paisible, avait cette blancheur transparente, cette peau fine et rosée des personnes qui vivent d'ordinaire dans les graisses et les viandes crues. Elle était sérieuse plutôt, très calme et très lente, s'égayant du regard, les lèvres graves. Son col de linge empesé bridant sur son cou, ses manches blanches qui lui montaient jusqu'aux coudes, son tablier blanc cachant la pointe de ses souliers, ne laissaient voir que des bouts de sa robe de cachemire noire, les épaules rondes, le corsage plein, dont le corset tendait l'étoffe, extrêmement. Dans tout ce blanc, le soleil brûlait. Mais, trempée de claie, les cheveux bleus, la chair rose, le manches et la jupe éclatantes, elle ne clignait pas les paupières, elle prenait en toute tranquillité béate son bain de lumière matinale, les yeux doux, riant aux Halles débordantes. Elle avait un air de grande honnêteté.

...
vu ce que vous avez écrit, il ne me reste plus qu'à espérer qu'elle ne ramasse pas

Des idées d'ouverture? Je trouve aucun texte aussi claqué que celui la avec lequel je peux comparer

tu peux ouvrir avec l'oeuvre complète non?

ouais, c'est ce que j'ai fait.

J'ai ouvert sur Monet.
Nan, c'est pas vrai, j'ai pas encore fini le commentaire ...